Faitde moi ce que tu veux, prend tous se qui t'intĂ©resse Je serai docile au bout de ma laisse Fais de moi ce que tu veux prends tout ce qui t'intĂ©resse Je n'ai rien d'autre Ă  faire que de suivre n'importe qui, n'importe oĂč ailleurs Peut-ĂȘtre es-tu un ange et aprĂšs . EntraĂŹne moi oĂč tu veux, le bien et aussi insipide que le mieux
Deviation ActionsPublished Aug 13, 2013Literature Text Tu lui mets une couche ? Elle fait encore pipi au lit ? » - de l’énurĂ©sie aux plaisirs ABDL – 1Ăšre Partie Tu lui mets une couche ? Elle fait encore pipi au lit ? » Je crois que je me souviendrais de ces mots toute ma vie. Il suffit que je ferme les yeux et je peux revoir cette scĂšne allongĂ©e en travers du lit de ma cousine Marie, ma mĂšre, alors enceinte de 7 mois, Ă©tais en train de me langer sous le regard Ă©tonnĂ© de ma tante ChloĂ©. C’était le 23 DĂ©cembre 2002, j’avais 8 ans et demi. PrĂ©sentation je m’appelle Florianne, je suis française, Ă©tudiante en licence d’histoire et depuis un peu plus d’un an je me suis dĂ©couvert une attirance pour l’univers ABDL. Ce petit rĂ©cit est peut ĂȘtre une forme de thĂ©rapie, car j’ai besoin de parler cette attirance mais je n’ai pas le courage de le faire auprĂšs de mes parents et de mes amis, aussi je demande votre indulgence. Voici quelques souvenirs, des instants qui ont certainement conduit Ă  mon actuelle attirance pour les couches. Ils pourront peut ĂȘtre vous paraĂźtre tristes, mais pour moi ils sont Ă  la fois doux et amers, comme peuvent lĂȘtre certains bonbons. J’ai des parents parfois stricts mais adorables et aujourd’hui encore, je n’ai pas trouvĂ© de meilleur refuge Ă  mes angoisses que les bras de mon Papa ni de meilleurs remĂšdes Ă  mes chagrins que les cĂąlins de ma Maman. Depuis un an, j’ai mon propre appartement, mais dans la maison de mes parents, j’ai toujours ma chambre jouxtant celles de mon petit frĂšre et de ma petite sƓur. Cette chambre est toujours un endroit oĂč je me sens en sĂ©curitĂ© et protĂ©gĂ© de tout sauf des caprices de ma petite sƓur. Je suis donc l’aĂźnĂ©e d’une famille de 3 enfants, j’ai 6 ans et demi de plus que mon frĂšre et presque 9 ans de plus que ma chipie de petite sƓur. Mon pĂšre est officier parachutiste et ma mĂšre est infirmiĂšre libĂ©rale. J’ai Ă©tĂ© propre le jour vers 2 ans et la nuit peu aprĂšs mon quatriĂšme anniversaire. Je suis entrĂ©e en CP avec un an d’avance, j’avais peine 5 ans. La naissance de mon petit frĂšre n’a pas entraĂźnĂ© de jalousie ni de rĂ©gression de ma part, bien au contraire, j’étais trĂšs heureuse de pouvoir aider ma Maman Ă  s’occuper du bĂ©bĂ©. Jusqu’à mes 8 ans, tout allait bien pour moi, mĂȘme si j’étais un garçon manquĂ© » je prĂ©fĂ©rais jouer au football, Ă  la guerre ou surtout aux pirates avec les garçons plutĂŽt qu’à la poupĂ©e et Ă  la dĂźnette avec les autres filles. Bien sĂ»r j’avais aussi des poupĂ©es mais je prĂ©fĂ©rais y jouer seule et je n’ai jamais voulu de dĂ©guisement de fĂ©e ou de princesse, uniquement des dĂ©guisements de pirates ou de cow-boy. 1er Souvenir Ma vie a changĂ© durant l’étĂ© 2002 nous avons dĂ©mĂ©nagĂ© en Juillet et mon pĂšre a Ă©tĂ© envoyĂ© en Afghanistan dĂ©but Septembre avec son rĂ©giment. Ma mĂšre Ă©tait alors enceinte de ma petite sƓur. Le jour du dĂ©part, j’ai beaucoup pleurĂ© dans les bras de mon papa. J’avais dĂ©jĂ  vĂ©cue cette scĂšne en 1999 lorsqu’il est parti au Kosovo, mais je crois qu’à l’époque je n’avais pas encore compris tout ce qu’impliquait ce dĂ©part. Il a essayĂ© de me consoler et m’a dit Tu es une grande fille maintenant, princesse, je compte sur toi pour aider Maman, pour veiller sur ton petit frĂšre et sur le bĂ©bĂ©. Tu seras toujours gentille et obĂ©issante avec Maman, OK ? Tu me le promets ? ». J’ai promis, mais psychologiquement cette promesse a Ă©tĂ© un boulet pour moi, mais cela je ne l’ai compris que trĂšs rĂ©cemment. DĂšs la nuit suivante, j’ai recommencĂ© Ă  faire pipi au lit. Les premiers jours ma mĂšre ne me grondait pas et se contentait de me dire gentiment il y a des petites fesses Ă  nettoyer et des draps Ă  mettre dans le lave linges » et de m’envoyer Ă  la salle de bains pendant qu’elle changeait les draps, mais moi j’étais trĂšs honteuse. Un soir de la semaine suivante, Ă  l’heure du coucher, je suis entrĂ©e dans ma chambre aprĂšs m’ĂȘtre lavĂ©e les dents et avoir Ă©tĂ© aux toilettes. Maman m’attendait assise sur mon lit, elle tenait un petit paquet dans ses mains. Elle m’a fait asseoir sur ses genoux puis elle m’a expliquĂ© qu’elle Ă©tait trĂšs fatiguĂ©e Ă  cause du bĂ©bĂ© qu’elle attendait et de l’attention que rĂ©clamait encore mon petit frĂšre et donc que cela serait mieux pour tout le monde que je porte une culotte spĂ©ciale » pour la nuit en me montrant le paquet de Drynites. A l’époque je crois que c’était tout nouveau en France. J’ai pleurĂ©, j’ai un peu protestĂ© mais j’ai rapidement acceptĂ©, Ă  cause de ma promesse d’ĂȘtre toujours gentille avec Maman. Si ces culottes ont rĂ©glĂ© le problĂšme des draps, elles ont probablement eu des rĂ©percussions sur mon attitude Ă  l’école, car Ă  partir de ce jour, je suis devenue plus nerveuse et plus agressive Ă  l’école. Il faut dire que je n’aimais pas la nouvelle Ă©cole dans laquelle j’allais car elle Ă©tait tellement diffĂ©rente de celle du village avec son aspect 19e siĂšcle et ses parquets en bois et oĂč les institutrices Ă©taient tellement gentilles et maternelles avec nous, n’hĂ©sitant pas Ă  nous consoler par quelques cĂąlins quand nous Ă©tions en pleurs. Ma nouvelle Ă©cole avait un aspect triste, toute en bĂ©ton et en verre, avec une institutrice sĂ©vĂšre et pas cĂąline du tout avec ses Ă©lĂšves, je ne m’y sentais pas bien. Mais le pire Ă©taient les toilettes souvent sales, avec des odeurs mĂ©langĂ©es de dĂ©jections, de bĂ©ton humide et de dĂ©sinfectant et surtout avec des portes qui fermaient mal et avec un large espace au bas de la porte
 en principe c’était pour que nous puissions sortir en nous glissant dessous si nous n’arrivions plus Ă  ouvrir le verrou, mais en fait, cela servait surtout aux garçons Ă  venir voir comment c’est fait une fille ». Du coup, si vous n’aviez pas de copine pour se mettre devant la porte, il ne restait que la solution de se retenir durant toute la journĂ©e, ce que je faisais gĂ©nĂ©ralement. Aussi, un des premiers mardi d’octobre 2002, lors de la rĂ©crĂ©ation de l’aprĂšs midi, ce qui devait arriver arriva aprĂšs des heures Ă  me retenir, j’ai fait pipi dans ma culotte alors que je jouais au basket ! Je me vois encore, prĂšs du panneau de basket avec mon pipi qui faisait une flaque autour de mes chaussures, et la large tache humide qui s’étalait sur ma salopette rose pĂąle depuis l’entrejambe jusqu’à mes chaussettes. Et les autres enfants autour de moi qui regardaient Ă©tonnĂ©s ou en ricanant. L’un d’entre eux, Francis lui, je ne l’oublierais ni ne lui pardonnerais jamais ! Et pourtant nous Ă©tions trĂšs ami avant cet accident, a commencĂ© Ă  se moquer de moi Ă  haute voix Venez tous voir ! Florianne a fait pipi dans sa culotte ! Florianne est un bĂ©bĂ© ! La maĂźtresse devrait l’envoyer Ă  la Maternelle, ils ont des couches pour la sieste des petits ! ». Je crois que c’est le mot couches » qui a dĂ©clenchĂ© ma rĂ©action violente je me suis jetĂ© sur lui en le bourrant de coups de poings et de pieds et je l’ai fait tombĂ© par terre. Lorsque les maĂźtresses sont venues nous sĂ©parer, j’étais assise sur sa poitrine, il pleurait et il saignait du nez, de la bouche et de la pommette. Pendant qu’il Ă©tait conduit Ă  l’infirmerie en braillant comme un bĂ©bĂ©, mon institutrice me trainait par le bras me grondant et me secouant en direction du bureau du directeur. Je suis incapable de me souvenir ce qu’elle me disait, elle criait et me secouait si fort que j'avais l'impression qu'elle allait m'arracher le bras, mais je regardais Francis pleurer Ă  chaudes larmes sous les regards moqueurs des autres enfants, Ă  prĂ©sent je n’étais plus la seule cible des moqueries. Le directeur me cria dessus parce que j’avais blessĂ© un de mes petits camarade, il me reprocha Ă©galement mon petit accident », me disant que si je n’étais pas capable d’ĂȘtre propre pendant la journĂ©e, ma place Ă©tait Ă  la crĂšche et non Ă  l’école primaire. Était-il au courant de mon problĂšme de pipi au lit ? Il tĂ©lĂ©phona Ă  ma mĂšre pour qu’elle vienne me chercher et quand elle fut lĂ , il lui annonça que vue ma conduite de la journĂ©e et des diffĂ©rentes punitions que j’avais reçues au cours des derniĂšres semaines, j’étais renvoyĂ©e pour le restant de la semaine. Ma mĂšre Ă©tait atterrĂ©e, elle tenta de le faire revenir sur sa position mais il resta ferme, lui annonçant qu'elle avait quelques jours pour m'apprendre comment une gentille fille devait se comporter Ă  l'Ă©cole sinon il serait dans l'obligation de me renvoyer mĂšre s’avoua vaincue. Elle me prit par la main et nous sortĂźmes de l’école. Au lieu de repartir directement chez nous, nous fĂźmes un crochet par le petit centre commercial qui Ă©tait Ă  quelques centaines de mĂštres de l’école et de notre appartement, j’étais trĂšs honteuse, car tous les gens qui nous croisaient pouvaient voir que j’avais fait pipi dans ma culotte. Nous sommes allĂ©es Ă  la droguerie-quincaillerie et ma mĂšre demanda Ă  la vendeuse un martinet. Le petit sourire et le regard de cette derniĂšre laissait entendre qu’elle avait compris Ă  qui Ă©tait destinĂ© cet instrument. Maman paya tout en me disant qu’elle se rembourserait avec le contenu de ma tirelire quand j’y repense, je trouve que c’est du vol ! Ce martinet a servit pour mon petit frĂšre et sert encore parfois pour ma petite sƓur ! Je devrais exiger qu’ils me remboursent les 2 tiers du prix ! LOL. Enfin rentrĂ©es Ă  notre appartement, je fus rapidement dĂ©culottĂ©e et chaudement fessĂ©e avec le martinet avant d’ĂȘtre envoyĂ© au coin, dans la salle de bain, face au sĂšche serviette mural sur lequel ma mĂšre avait accrochĂ© ma salopette et ma petite culotte mouillĂ©es de façon Ă  ce qu’elles soient juste devant mon visage. Lorsque j’ai cessĂ© de pleurer, ma mĂšre me rappela et me fit la morale de façon sĂ©vĂšre et conclue sa tirade avec les grandes filles de CM-1 ne mouillent plus leur culotte et ne se battent pas avec les garçons », je lui ais criĂ© Alors je ne veux plus ĂȘtre une grande fille ! Je veux ĂȘtre encore une petite fille !»,je pense qu'inconsciemment je voulais envoyer un SOS Ă  ma mĂšre, mais elle ne le comprit pas, et elle se mit Ă  nouveau trĂšs en colĂšre, et je reçus Ă  nouveau le martinet et ce fut la pire fessĂ©e de ma vie, Ă  la fin j'avais mĂȘme du mal Ă  respirer tellement je pleurais. ImmĂ©diatement aprĂšs, elle me conduisit Ă  la salle de bain, termina de me dĂ©shabiller, me mit dans la baignoire pour me laver mais aussi pour calmer mes pleurs puis me ramena dans ma chambre pour m'habiller et m’obligea, par quelques claques supplĂ©mentaires sur les cuisses, Ă  enfiler une drynites avant de m’habiller rapidement et nous sommes repartis vers le centre commercial, pour entrer ce coup-ci au supermarchĂ©, et lĂ , nouvelle humiliation pour moi, ma mĂšre me porta pour me faire asseoir dans le siĂšge bĂ©bĂ© du chariot. Avec la barre de maintien Ă  l’entrejambe, impossible de serrer les cuisses ou d’empĂȘcher le bas de ma robe de remonter presque jusqu’en haut de mes cuisses. Tout le monde pouvait voir la curieuse culotte blanche que je portais et dont l’épaisseur indiquait sans nul doute l’usage, j’étais mortifiĂ©e, je regardais par terre et j’essayais de pleurer le plus doucement possible pour ne pas attirer l’attention. Nous avons juste Ă©tĂ© dans le rayon bĂ©bĂ© oĂč ma mĂšre pris un paquet de pampers dans la plus grande taille disponible et un ou deux autres de drynites, je crois qu’elle prit aussi quelques autres produits pour bĂ©bĂ©, Ă©tait-ce pour moi ou pour mon petit frĂšre de 2 ans ? Aujourd’hui je ne saurais le dire, mais Ă  l’époque je le croyais, d’autant qu’elle expliqua Ă  la caissiĂšre que j’avais fait pipi dans ma culotte Ă  l’école et que j’avais dit que je ne voulais plus ĂȘtre une grande fille. La caissiĂšre m’avait sourit gentiment et m’avait dit Tu sais, c’est bien d’ĂȘtre une grande fille ! Tu vas vite voir que ce n’est pas agrĂ©able d’ĂȘtre dans une couche mouillĂ©e ». Aujourd'hui je pourrais lui rĂ©pondre que cela dĂ©pend des moments et des situations
 De retour Ă  la maison, ma mĂšre me prĂ©vint que j’étais punie jusqu’à dimanche et puisque je voulais ĂȘtre une petite fille, elle allait me traiter comme mon petit frĂšre, comme si j’avais 2 ans, et cela fut le cas pendant 2 jours j’ai portĂ© mes drynites en guise de pull-ups durant la journĂ©e et les pampers pour la nuit et la sieste, je fus mise sur le pot au mĂȘme rythme ou presque que mon petit frĂšre, j’ai bu dans une tasse en plastique pour bĂ©bĂ©, sauf le matin oĂč j’ai eu droit au biberon de chocolat un vrai bon souvenir celui-lĂ  et mise au lit Ă  20h15, Ă  peine 15 minutes plus tard que mon petit frĂšre. Mais le jeudi soir, j’ai pleurĂ© plus longtemps et plus fort que les deux soirs prĂ©cĂ©dent. Ma mĂšre a fini par venir me voir et, aprĂšs avoir vĂ©rifiĂ© si j’avais sali ma couche, elle m’a demandĂ© pourquoi est-ce que je pleurais. Je lui aurais rĂ©pondu que j’étais trop vilaine et que devait me mettre Ă  l’orphelinat parce que je n’arrivais pas Ă  ĂȘtre une gentille fille et que je n’avais pas tenu ma promesse Ă  Papa. Alors elle m’a prise dans ses bras et s’est aussi mise Ă  pleurer. Ce fut un moment magique car je ressentais la tendresse de ma Maman par tous mes sens. J’ai sanglotĂ© assez longtemps pour m’épuiser et m’endormir dans ses bras. Le lendemain, il Ă©tait tard quand Maman est venue pour me lever. Elle avait confiĂ© mon petit frĂšre Ă  une voisine pour la journĂ©e pour rester seule avec moi. AprĂšs m’avoir donnĂ© mon biberon de chocolat, elle m’a gardĂ© dans ses bras un long moment en me cĂąlinant. Puis elle m’a demandĂ© gentiment comment c’était d’ĂȘtre une toute petite fille et si je voulais encore en rester une. Je lui ai juste rĂ©pondu que je ne voulais plus de couche dans la journĂ©e. Elle m’a sourit et m’a dit simplement d’accord, princesse, plus de couche dans la journĂ©e
 plus de sĂ©ance sur le pot ni de couverts de bĂ©bĂ© non plus. On va juste garder la couche pour le dodo. » Et le biberon du matin ? ». Elle se mit Ă  rire, me caressa le visage et rĂ©pondit Et aussi le biberon du matin » Et l’histoire pour dormir le soir ? » Aussi longtemps que tu en auras besoin ma chĂ©rie ». Elle m’a gardĂ© longtemps dans ses bras, s’excusant de m’avoir un peu trop puni, m’expliquant qu’elle Ă©tait fatiguĂ©e Ă  cause du bĂ©bĂ© qu’elle portait dans son ventre et que mĂȘme une Maman peut se tromper. Et, aprĂšs m’avoir changĂ©, elle a passĂ© la journĂ©e entiĂšre Ă  s’occuper uniquement de moi, comme lorsque j’étais plus petite elle m’a fait faire mes devoirs, elle a jouĂ© avec moi et m’a beaucoup cĂąlinĂ©. A partir de cette Ă©poque et jusqu’à mes 10 ans, ma Maman me langea le soir avec un change complet et me changeait le matin, me nettoyant les fesses avec des lingettes pour bĂ©bĂ©, mais seulement aprĂšs le petit dĂ©jeuner, moment que j’aimais beaucoup, car elle me prenait sur ses genoux pour me donner un biberon de lait chocolatĂ©.
Celui qui m'a envoyĂ© est avec moi ; il ne me laisse jamais seul parce que je fais toujours ce qui lui plaĂźt" (Jn 8, 29). Et au moment le plus tragique de sa vie, lors de l'agonie au Jardin des Oliviers : "PĂšre, s'il est possible, que ce calice s'Ă©loigne de moi. Cependant non pas ce que je veux, mais ce que tu veux" 'Mc 14,36). Et par cet Comment Don't forget that insults, racism, etc. are forbidden by Skyrock's 'General Terms of Use' and that you can be identified by your IP address if someone makes a inWe need to verify that you are not a robot generating spam. Visitor, Posted on Wednesday, 11 March 2015 at 109 AM salut j aime ce que tu ecrie meme si je sens une certaine douleur RSS DetrĂšs nombreux exemples de phrases traduites contenant "et moi je fais ce que je veux" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Consulter Linguee; Proposer comme traduction pour "et moi je fais ce que je veux" Copier; DeepL Traducteur Dictionnaire. FR. Open menu. Traducteur. Traduisez des textes avec la meilleure technologie

Fais ce que tu veux, oui, tu as bien entendu, fais ce que tu veux, puisqu’il semble Ă©vident que tu feras uniquement ce que tu veux et non ce que je veux moi, c’est entendu, je lĂąche l’ancre. Vois-tu mon drapeau blanc ? Ok fais ce que tu veux. Reconnais que je suis tolĂ©rante, je te laisse libre, tu as les coudĂ©es franches, je n’impose rien mĂȘme si cela me peine, je suis souple mĂȘme si ça me dĂ©sole, mĂȘme si ça rĂ©siste encore un peu, mais Ă  quoi bon ? Tu perçois peut-ĂȘtre cette lĂ©gĂšre rĂ©sistance dans l’inflexion de ma voix, mes lĂšvres un peu trop serrĂ©es, mon regard dur au moment oĂč je dis fais ce que tu veux ». Je ne t’invite pas gentiment tu veux quelque chose Ă  boire, Ă  manger ? te promener ? Non, ça c’était avant, avant que tu campes sur tes positions, que tu te cabres et proclames ce que tu veux, non je ne t’invite pas, bien au contraire, je bats en retraite, protĂ©gĂ©e par mon drapeau blanc, ma rĂ©plique eh bien, fais donc ce que tu veux mĂȘme si ce que tu veux est bien entendu, absurde, idiot, inappropriĂ© mais ma foi, puisque c’est ce que tu veux, fais-le. Tu vas porter ton dĂ©sir, ton opiniĂątretĂ© comme ton nez au milieu de la figure, ce ce que tu veux et moi, non », c’est ton idĂ©e, ton idĂ©e bien Ă  toi, je n’y suis pour rien, et mĂȘme, je m’en lave les mains, il est entendu que mon avis ne compte pour rien et qu’il ne me reste que ce minuscule espace de silence que je tĂąche de rendre Ă©loquent au bout de cette phrase fais ce que tu veux », lĂąchĂ©e dans un soupir excĂ©dĂ©, sur un ton mourant au terme d’une lutte Ă©puisante, car jusqu’au bout j’ai tentĂ© de te faire entendre que ce que tu veux n’a aucun sens. Quant aux consĂ©quences, il faudra t’en arranger, il n’y a pas eu moyen, mes forces ont Ă©tĂ© outrepassĂ©es, ton entĂȘtement est vĂ©ritablement sans borne, tu ne me laisses pas d’autres choix que de cĂ©der, il faut bien que l’un de nous deux cĂšde et renonce Ă  ce qu’il veut. VoilĂ , au fond, ce que tu veux c’est que je renonce Ă  ce que je veux. Je cĂšde et je n’y peux plus rien, je n’ai plus qu’un seul pouvoir, celui de signifier mon impuissance puisque ce que tu veux, Dieu lui-mĂȘme le veut semble-t-il, advienne que pourra, j’ai perdu la bagarre, je cĂšde, convaincu que bien sĂ»r tu t’en repentiras, c’est inĂ©luctable, je te rappellerai alors que c’est ce que tu as voulu, que je t’avais bien prĂ©venu, mais bon. /

Chéri attache-moi ! 6 189 vues. ce que tu veux. Chéri ? Envoyé par phil_good le 15 juin 2019 à 13h18.

30/04/2013 0842Romains Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Précédent
Attachemoi et fais ce que tu veux ! Non, mais NOoonnn ! đŸ–ïžđŸ–ïžđŸ˜‚đŸ–ïžđŸ–ïžđŸ˜‚đŸ–ïžđŸ–ïž . 20 Jul 2022
Culte du 28 juin 2009 Ă  l'Oratoire du LouvreprĂ©dication du pasteur Marc Pernot Salomon a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© bien gĂątĂ©. Tout jeune, il se retrouve Ă  la tĂȘte d’un pays prospĂšre, et alliĂ© par mariage avec le pharaon d’Égypte. C'est pour cela qu'il offre en sacrifice de louange Ă  l’Éternel un millier de bƓufs. Mais Salomon n'a pas fini de recevoir, car Dieu lui dit Qu’est-ce que tu veux ? Je te ferai un cadeau. » C’est assez curieux, car Dieu n’est pas en rĂ©alitĂ© comme le gĂ©nie qui sort de la lampe merveilleuse d’Aladdin, et ce n’est pas tellement la thĂ©ologie biblique de concevoir Dieu comme exauçant le caprice de l’homme, heureusement. Mais ce rĂ©cit nous propose d’abord de nous poser cette question essentielle Qu'est-ce que j'attends de Dieu, qu'est-ce que je voudrais qu'il me donne ? Cette question est essentielle car elle nous permet de mieux nous connaĂźtre nous-mĂȘmes. Qu’est-ce que je cherche vraiment, en rĂ©alitĂ©, dans la vie ? Qu’est-ce qui est pour moi le plus grand bien ? Il est utile pour nous de chercher Ă  rĂ©pondre Ă  cette question honnĂȘtement, pour, peut-ĂȘtre, nous recentrer un peu sur quelque chose qui en vaille la peine. Cette question Que demanderais-je Ă  Dieu ? » nous permet de savoir quel dieu nous adorons en rĂ©alitĂ©. Cela peut nous surprendre, car le Dieu de la croyance de quelqu’un n’est pas forcĂ©ment le dieu de son adoration. Par exemple il y a des gens qui disent de pas croire en Dieu et qui sont, de fait, animĂ©s d’une passion religieuse pour quelque chose, comme l’argent, la montagne ou tel idĂ©al politique
 D’autres personnes croient en Dieu, intellectuellement, mais ne pensent jamais Ă  lui et n’attendent donc rien de lui concrĂštement, parce qu’ils espĂšrent autre chose, qu’ils adorent autre chose, un autre dieu. Par exemple, si Salomon avait demandĂ© Ă  Dieu la richesse et la gloire, le dieu de Salomon aurait Ă©tĂ©, en rĂ©alitĂ© non pas l’Éternel, mais son dieu aurait Ă©tĂ© le pouvoir, l'argent ou la gloire, et l’Éternel ne serait pour lui qu'un simple moyen d'avancer vers ce but. C’est ce que fait remarquer MaĂźtre Eckhart avec un art de la formule et une pertinence qui l’ont rendu cĂ©lĂšbre, il dit Lorsque l'on invoque Dieu en ayant en vue un bien de ce monde, ce n'est pas Dieu que l'on invoque, mais l'on invoque ce qui fait l'objet de la priĂšre, et on utilise Dieu comme un valet. » Les dits de MaĂźtre Eckhart, N° 39 Saint Augustin dit Ă  peu prĂšs la mĂȘme chose C'est Ă  ce que tu aimes que va ta priĂšre. Tu invoques ce que tu appelles en toi, tu invoques ce que tu veux avoir en toi. Or, si tu invoques le Seigneur afin qu’il t’arrive de l’argent, un hĂ©ritage, une dignitĂ© du monde, tu appelles en rĂ©alitĂ© des biens que tu dĂ©sires possĂ©der, tu te fais un Dieu complice de tes convoitises, non un Dieu qui Ă©coute les priĂšres. » Discours sur le Psaume 85 §8 Mais avant Eckhart et Saint Augustin, JĂ©sus lui-mĂȘme dit que ceux qui prient Dieu pour avoir de l’argent ou de la santĂ©, tout en croyant en Dieu, puisqu’ils le prient, sont en rĂ©alitĂ©s d’une certaine façon des paĂŻens, puisqu’en priant ainsi, ils sont des adorateurs de Mammon, le dieu de l’Argent, ou d’Esculape, le dieu de la santé  C’est dur, comme sentence, de se faire traiter de paĂŻen. Mais ce n’est pas pour nous accabler que JĂ©sus dit cela, mais pour nous sauver, bien sĂ»r, nous sauver en nous aidant Ă  nous recentrer sur l’essentiel, sur Dieu. JĂ©sus ne critique pas le fait que nous ayons besoin d’argent, de vĂȘtement, de nourriture et de santĂ©. Dieu ne critique pas le fait que Salomon vive comme un roi, qu’il se construise un palais, qu’il Ă©pouse une princesse
 Dieu sait que nous avons besoin de tout ça, nous dit JĂ©sus. Mais il ne faut pas pour autant que nous nous laissions aller Ă  faire de ces choses des dieux que nous adorons. Il y a un seul Dieu, une seule puissance transcendante dans le monde, c’est le crĂ©ateur de l’univers, c’est l’Éternel, c’est notre PĂšre, c’est l’amour, qu’importe la façon dont on l’appelle, mais c’est lui seul qui peut nous faire vivre. Mais si l’on adore n’importe quoi on devient esclave de ce n’importe quoi. Fondamentalement, la seule chose » que nous puissions donc demander Ă  Dieu sans devenir paĂŻen, c’est Dieu lui-mĂȘme, c’est lui demander sa prĂ©sence active. C’est ce que Salomon fait ici. On pense souvent que Salomon demande la sagesse Ă  Dieu, mais non, s’il demandait Ă  Dieu la sagesse, Salomon n’adorerait plus l’Éternel, mais il serait devenu un adorateur de la sagesse, et il ferait de Dieu son valet, comme le dit maĂźtre Eckhart. Mais ce que Salomon demande Ă  Dieu c’est de lui donner un cƓur qui Ă©coute », c’est-Ă -dire un cƓur ouvert Ă  ce que Dieu voudra lui apporter par sa Parole, Salomon lui demande que son ĂȘtre soit capable de vivre ce commandement fondamental de la Loi de MoĂŻse Écoute l’Éternel notre Dieu, l’Éternel est l’Unique » DeutĂ©ronome 64 Salomon demande ainsi Ă  Dieu sa prĂ©sence, son aide, son action crĂ©atrice, il le demande avec confiance, un peu comme Marie dit Ă  Dieu je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta Parole » Luc 1 38. Salomon demande Ă  Dieu un cƓur qui Ă©coute afin de pouvoir gouverner le peuple que Dieu lui a confiĂ©, et discerner le bien et le mal ! ». Salomon espĂšre peut-ĂȘtre que Dieu lui soufflera Ă  l’oreille, ou au cƓur, ce qu’il penser ou faire. Dieu lui offrira bien mieux que ça, car ce serait le transformer en un gentil petit robot bien programmĂ©. Ce sont plutĂŽt des dieux comme Mammon ou Esculape qui nous transforment ainsi en esclave quand nous les adorons. Mais c’est dĂ©jĂ  leur faire trop d’honneur que de dire ça, puisque Mammon et Esculape n’ont pas de puissance propre. Mais c’est, prĂ©cisĂ©ment, en mettant notre espĂ©rance dans quelque chose qui ne peut pas nous faire vivre que nous rĂ©gressons, et ce n’est pas d’un dieu que nous sommes alors esclave, mais de notre propre illusion. Salomon demande donc Ă  Dieu un cƓur qui Ă©coute afin de pouvoir gouverner le peuple que Dieu lui a confiĂ©, et discerner le bien et le mal ! » Dieu va lui donner un cƓur capable d’apprendre et de rĂ©flĂ©chir. Dieu n’aura alors pas Ă  lui dicter ce qu’il doit faire, ni Ă  lui rĂ©vĂ©ler ce qui est bien. Dieu ne le fait que dans des cas exceptionnels, pour donner une impulsion, un appel, un encouragement. Car le but de Dieu n’est pas de nous transformer en robot mais de nous rendre capable d’avoir un gĂ©nie propre. C’est en Ă©tant Jean-SĂ©bastien Bach, c’est en composant du Bach que Jean-SĂ©bastien Bach apporte quelque chose dont Dieu est fier, pas en Ă©tant un simple jouet dans la main de Dieu. C’est donc en Ă©tant Salomon, en faisant du Salomon, avec sa personnalitĂ©, sa sensibilitĂ© que Salomon sera utile. PlutĂŽt que d’adorer des moyens matĂ©riels, tout utiles et bons qu’ils soient par ailleurs, Salomon a la sagesse, dĂ©jĂ , de s’adresser Ă  Dieu pour le seul amour de Dieu. Il sait reconnaĂźtre en Dieu la source de sa vie, il sait voir que Dieu lui a confiĂ© des personnes pour que lui, Salomon, leur fasse du bien, et non pour que Salomon en profite. Et quand Dieu lui demande ce qu’il veut, Salomon rĂ©pond Je ne suis qu'un enfant, c'est toi qui m'as fait roi de ton peuple, aides-moi Ă  ĂȘtre capable de ce service. En se considĂ©rant comme un enfant devant Dieu, Salomon permet Ă  Dieu d'agir envers lui comme un pĂšre, comme une mĂšre, comme son crĂ©ateur. C'est effectivement ce qu'est Dieu et Salomon s'adresse ainsi Ă  la bonne personne avec une attente cohĂ©rente avec ce qu'il est. Notre dĂ©sir est toujours lĂ©gitime, et nous n’avons pas Ă  culpabiliser pour ce que nous dĂ©sirons, mais il vaut finalement mieux ne pas ĂȘtre esclave de son propre dĂ©sir, comme le sont Adam et Ève Ă  la chute. PlutĂŽt que de vivre en adorant son propre dĂ©sir en priant Dieu de rĂ©pondre Ă  ce dĂ©sir, Salomon nous propose de demander Ă  Dieu de nous Ă©clairer sur ce qui est bien, pour que nous ayons la sagesse de le chercher et le faire. Dieu peut faire mĂȘme plus que de nous dire ce qui est bien, il peut nous rendre capable d’ĂȘtre mĂȘme source de bien. Dieu ne critique pas Salomon de s'ĂȘtre mariĂ© Ă  une riche et puissante Ă©gyptienne, Dieu ne le critique pas non plus de s'ĂȘtre construit pour lui-mĂȘme un superbe palais... Ce que nous propose la Bible, ce n'est pas de vivre comme si nous Ă©tions de purs esprits nous ne le sommes pas, ni de nĂ©gliger la santĂ©, la bonne renommĂ©e, ou les moyens comme l'argent ou le pouvoir qui peuvent ĂȘtre utiles pour faire du bien. Mais ce que nous dit la Bible c'est qu'il est bon que notre relation avec le crĂ©ateur soit centrale dans notre existence. Mais l’intĂ©rĂȘt d’un centre, c’est d’ĂȘtre justement le centre de quelque chose et la dimension spirituelle de notre ĂȘtre est intĂ©ressante quand elle Ă©claire et donne du sens Ă  une existence dans ce monde. Ce n'est pas parce que nos conditions de vies en ce monde n'auraient pas d'importance que ce n'est pas une bonne idĂ©e de les demander Ă  Dieu, mais parce que les souhaiter plus que tout dĂ©centre notre existence, la coupe de la source. JĂ©sus prit la parole, et dit Ayez foi en Dieu. Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, si quelqu'un dit Ă  cette montagne Ote-toi de lĂ  et jette-toi dans la mer, et s'il n’hĂ©site pas dans son cƓur, mais a foi que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir. Marc 1122-24 L'essentiel c'est la foi en Dieu. La foi ce n'est pas forcĂ©ment sentir la prĂ©sence de Dieu, mais c'est simplement reconnaĂźtre Dieu comme le plus grand bien, comme la source du bien. La premiĂšre force que nous donne cette foi en Dieu, nous dit JĂ©sus, c'est de pouvoir jeter les montagnes dans la mer. C’est une image qui nous semble curieuse aujourd’hui, mais dans la Bible, les montagnes Ă©voquait le culte Ă  Dieu ou aux divinitĂ©s locales. Nous voyons au dĂ©but de cette histoire que Salomon adorait encore Dieu sur des montagnes diverses, parce que sa foi n’était pas encore bien bien construite sur la seule prĂ©sence de Dieu. Salomon adorait ainsi Dieu parce qu’il Ă©tait conscient de tout ce que Dieu lui avait dĂ©jĂ  donnĂ© d’avoir dans sa vie. Salomon adore ainsi Ă  la fois Dieu mais aussi un peu l’argent dont il remercie Dieu, le pouvoir dont il remercie Dieu, la victoire contre ses ennemis dont il remercie Dieu
 Il place quand mĂȘme Dieu au-dessus, mais il adore encore un peu le reste. Ce n’est que progressivement, que l’on peut purifier sa foi et devenir de plus en plus monothĂ©iste, adorant Dieu seul. Si notre cƓur est effectivement en Dieu, nous pourrons dire Ă  ces choses qui nous possĂšdent quand on leur rend un culte jette-toi dans la mer, retourne au chaos, et nous serons libĂ©rĂ©s
 sans doute pas en une seconde, mĂȘme JĂ©sus a mis 40 jours Ă  se dĂ©barrasser, un Ă  un, de ses propres faux dieux. Mais, par la foi, Dieu finira quand mĂȘme par nous dĂ©barrasser de ces faux dieux qui trompent notre espĂ©rance. Alors, nous demanderons Ă  Dieu ce qu'il peut nous apporter le fait d’ĂȘtre créé par lui Ă  son image et Ă  sa ressemblance. Amen Voir la prĂ©dication du dimanche suivant, avec la 2e demande de Salomon
Bonjour j’ai Windows Vista depuis peu et quand je suis dans Internet explorer et que je veux Ă©crire un courriel (hotmail ou Gmail ou autre) et que je veux ajouter une piĂšce jointe, quand je fais parcourir, je ne vois aucun fichier. Pourquoi, mais surtout comment rĂ©gler mon problĂšme ? Merci beaucoup. artacus@hotmail.com La personne qui partageait votre vie vient de vous annoncer qu’il/elle ne vous supportait plus et a pris la dĂ©cision de rompre. Comment rĂ©agir dans ces conditions pour le/la retenir ? Quels sont les signes positifs et nĂ©gatifs sur lesquels vous pouvez baser votre reconquĂȘte amoureuse ? Comment pouvez-vous gĂ©rer vos Ă©motions pour ne plus vous laisser abattre par votre sort ? AprĂšs une rupture, vous avez tendance Ă  analyser tous les faits et gestes de votre ex afin de rĂ©pondre Ă  la fameuse question Est-il possible que mon ex change d’avis ? ». Vous courrez derriĂšre un espoir continu afin de vous assurer qu’il vous reste encore des chances. Malheureusement, vous n’avez pas assez de recul pour vous rendre compte des bons indicateurs afin de juger de vos chances de rĂ©ussite. C’est pourquoi dans cet article, j’ai regroupĂ© pour vous le top 5 des mauvais signes qui vous font penser que votre ex vous aime toujours et qui vous procurent un espoir de retour de l’ĂȘtre aimĂ©, risque de ne pas arriver si vous n’agissez pas convenablement et notamment si vous laissez vos Ă©motions vous guider. Prenez bien en compte que votre esprit est influencĂ© actuellement par vos sentiments et que vous avez tendance Ă  vous laisser envahir par votre ressenti pour vous assurer de son amour, alors que bien souvent il s’agira simplement de gestes du quotidien uniquement. 5/ Mon ex continue de prendre de mes nouvelles auprĂšs de mes amies Vous ne le comprendrez peut ĂȘtre jamais mais une ex qui vous quitte peut Ă©galement chercher Ă  vous protĂ©ger. Il est commun alors de s’apercevoir qu’il/elle prend souvent de vos nouvelles notamment par Ă  l’intermĂ©diaire de vos amies intimes. Malheureusement, ce signe ne peut pas ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme l’expression des sentiments de son ex et on ne peut rien y voir de concret. Ne vous emballez pas si vous entendez que votre ex essaye d’apprendre ce qu’il se passe dans votre quotidien, car vous n’aurez pas la garantie automatique qu’il s’agit d’un regret par rapport Ă  votre histoire. 4/ Mon ex rĂ©pond Ă  mes messages, pourquoi ? Vous vous Ă©tonnez toujours de voir votre ex rĂ©pondre Ă  vos messages car pour vous, lorsqu’il y a une rupture, il faut nĂ©cessairement tourner la page et rompre entiĂšrement le contact. MĂȘme si vous prenez la peine de lui Ă©crire et de vous rĂ©pĂ©ter intĂ©rieurement que ce sera un bon moyen de voir s’il/elle rĂ©pond toujours et donc conserve ses sentiments, en rĂ©alitĂ© ce signe est bien trop faible pour s’assurer que votre ex vous aime toujours. De nombreuses personnes ne souhaitent pas tirer un trait dĂ©finitif sur leur passĂ© et vont continuer de rĂ©pondre Ă  des messages par simple respect de la relation que vous avez eu. Alors votre mission ne sera pas de vous demander Est-ce que mon ex a encore des sentiments pour moi ? » mais plutĂŽt comment je peux faire pour augmenter notre complicitĂ© et lui donner envie de m’écrire plus souvent ? Si votre ex prend des initiatives alors ce sera un signe dĂ©jĂ  plus convenable ! 3/ Mon ex dit qu’il/elle veut rester ami, c’est bon positif ? Vous souhaitez comprendre pourquoi votre ex continue de rĂ©pondre Ă  vos messages alors qu’il/elle a souvent rĂ©pĂ©tĂ© qu’il/elle ne restait pas amie avec ses ex ? Vous pensez que votre ex possĂšde encore des sentiments car son attitude est toujours trĂšs sympathique Ă  votre Ă©gard et qu’il y a toujours de la complicitĂ©? Il ne s’agit pour autant pas d’un signe de reconquĂȘte mĂȘme si nous allons pouvoir l’exploiter par la suite ensemble lors d’une sĂ©ance de coaching. Une rupture amoureuse est toujours un Ă©vĂšnement particulier et chacun rĂ©agit Ă  sa façon. Le fait que son ex souhaite que vous restiez amis est clairement un des mauvais signes qui font penser que votre ex vous aime toujours. Vous devez considĂ©rer que cette amitiĂ© devra dĂ©boucher sur une nouvelle sĂ©duction en face Ă  face pour que vous repreniez le contrĂŽle de votre vie amoureuse. 2/ Il ne rĂ©pond pas quand je lui demande si il/elle m’aime ! Cette phrase je l’ai entendu des centaines de fois lors de sĂ©ance de coaching, d’ailleurs on me l’a encore dit il y a 3 jours et c’est suite Ă  cet entretien avec un coachĂ© que j’ai dĂ©cidĂ© de rĂ©diger cet article ! Je comprends votre besoin de vous rassurer mais ce n’est pas parce que votre ex ne rĂ©pond pas lorsque vous lui demandez si il/elle vous aime toujours que vous avez pour autant une chance de reconquĂȘte. Au contraire, cette question va montrer un manque d’assurance et de contrĂŽle sur la situation et vous cherchez constamment sa validation. Si votre ex ne souhaite pas vous rĂ©pondre c’est aussi pour vous protĂ©ger car dans sa tĂȘte son choix est fait, une rupture n’est jamais simple Ă  confirmer alors vous allez devoir agir positivement au lieu de poser de mauvaises questions qui ne feront au final qu’éloigner votre ex ! 1/ Mon ex ne m’a pas dit que c’est fini, le top des mauvais signes qui font penser que votre ex vous aime toujours ! Et le top en matiĂšre de signes pour se prouver Ă  soi-mĂȘme que notre ex a encore des sentiments c’est de se rĂ©pĂ©ter qu’il ne vous a jamais dit clairement Je te quitte ». Votre ex a pris ses affaires un matin, a dit Ă  tout le monde que vous Ă©tiez sĂ©parĂ©s et il/elle a rompu le lien de couple sur Facebook mais vous continuez de vous persuader que tant qu’il n’aura pas prononcĂ© explicitement je te quitte » alors c’est qu’il/elle doute de sa relation et qu’il s’agit plus d’un break que d’une rupture. Et pourtant, dans ce genre de situation vous n’avez pas Ă  espĂ©rer ou Ă  vous raccrocher Ă  un espoir. Votre ex attend que vous tourniez la page rapidement ou alors que vous lui montriez votre Ă©volution et votre capacitĂ© Ă  Ă©crire une toute nouvelle page. Une reconquĂȘte amoureuse ne se base JAMAIS sur les sentiments ou sur les souvenirs de votre couple. Au contraire, c’est le moment de montrer que vous ĂȘtes en pleine Ă©volution et que vous ne voulez pas de ce passĂ© dans lequel vous avez souffert tous les deux. Il faut repartir sur une sĂ©duction et rĂ©aliser dĂšs aujourd’hui que le recul est positif pour faire changer les choses. Je vous recommande donc de ne pas vous rattacher Ă  ces faux signaux qui vous perturbent et qui vous empĂȘchent de vous reconstruire. Prenez le temps de repĂ©rer vos erreurs dans la relation, de comprendre la dĂ©cision de rompre de la part de votre ex et de mettre en place des actions sans jamais regarder le comportement de votre ex, ni attacher d’importance aux mots qu’il/elle prononcera car vous risqueriez de prendre le mauvais chemin. Plus vous chercherez un espoir lĂ  oĂč il n’y en a pas et moins vos actions auront d’impact. Mais il y a tout de mĂȘme de l’espoir
 Vous ĂȘtes sur et les meilleurs conseils sont ici ! Je vous souhaite du succĂšs dans votre reconquĂȘte. Amicalement, Alexandre CORMONT, expert numĂ©ro 1 en France pour rĂ©cupĂ©rer son ex. SbarTT. 396 118 151 15 377 27 296 274 250

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